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Photo du rédacteurMicheline Boisvert-Vachon

Gérer les réactions en gestion du changement

On ne réagit pas tou-te-s de la même façon quand un changement est à mettre en place.

Il est bon de tenir compte des différentes réactions au sein d'une même équipe pour s'assurer d'obtenir le "buy in" de tout le monde.


Voici les 5 types de réactions en gestion du changement.



Courbe qui indique les différents styles de réaction


Innovateurs

Ce sont les personnes qui décident, initient et commencent les changements. Cela représente 2,5 % de la population en général.

Une fois que ces personnes ont présenté le changement, ce sont les utilisateurs précoces qui prennent le relais.


Utilisateurs précoces

Ce sont les personnes qui en écoutant les innovateurs hochent de la tête, sont prêtes à embarquer. Elles aiment être dans l'action, que les choses bougent. Elles sont zélées car le changement est en lien avec leurs valeurs, objectifs et priorités. Cela représente 13,5 % de la population en général.


Majorité précoce

Il s'agit de personnes qui souvent (mais pas toujours) sont des styles S (Modèle DiSC). Si le "comment" est bien préparé, ils vont embarquer.

Il ont besoin d'un peu plus de temps pour se faire une idée du projet et du comment.

Cela représente environ 35 % de la population en général.


Bon à savoir : Il est important de remarquer que ces 3 premiers types de personnes représentent seulement 50 % de la population.

L'autre moitié est donc parmi la majorité tardive et les retardataires.


Majorité tardive

Avec près de 35 % de la population, cette majorité peut ressembler à un groupe de sages. Ce sont des personnes qui ont vu, entendu, subi de nouvelles idées, de nouveaux projets, de nouveaux fonctionnements. Ils ont souvent vu leur leader se désintéresser d'un nouveau projet rapidement.

Ces personnes se disent "moi je vais attendre, je vais vois jusqu'à quel point mon-ma leader est sérieux-se avec ça avant de m'embarquer."


Le fait d'embarquer dans le changement est moins en lien avec le fait d'y croire ou non. C'est davantage en lien avec l'énergie requise pour mettre en oeuvre ce changement en lien avec les résultats attendus.


Bon à savoir : Quand on ne comprend pas cela, on a l'impression que ces personnes résistent aux changements. En fait, elles demandent simplement à être rassurées sur le fait que le changement qu'on leur demande de mettre en oeuvre, sera un changement durable et que cela vaut la peine d'y mettre son énergie.


Les retardataires

Ces personnes sont les dernières à adopter une innovation. Elles ont tendance à s'accrocher aux traditions.

Souvent, elle peuvent craindre de ne pas avoir les compétences pour mettre en oeuvre ce changement. Il se peut également qu'elles n'y croient pas ou qu'elles n'y voient aucune motivation intrinsèque.

Cela représente 16 % de la population


Extrait de la formation gratuite du 6 juin 2024



 

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